hÔTEL EKTA
Inspiration « seventies » pour l’Ekta
Les années 70 c’est le Pop Art, l’émission « Des chiffres et des lettres », Goldorak sur Antenne 2, les pantalons à pattes d’éléphants, la séparation des Beatles et la sortie du célèbre roman Shining, l’enfant lumière de Stephen King. C’est dans ce contexte effervescent de nouveautés et d’innovations que l’hôtel Ekta a choisi de se positionner pour offrir à ses clients un véritable retour dans le passé, sublimé par une touche d’élégance et de modernité !
Le commencement…
Pour comprendre les années 70, il faut d’abord se plonger dans le contexte historique. En quelques mots, cette période survient après la période des 30 Glorieuses où les français redécouvrent les plaisirs de la vie et le début de la consommation de masse, après 6 années de dure guerre. Court répit bien mérité d’un côté mais constatation et indignation de l’autre. En effet, les enjeux et les problématiques écologiques ne laissent plus indifférents la population française qui commence à être véritablement sensibilisée à la cause environnementale grâce au poste télévisé.
Inspiration « Seventies » pour l’Hôtel Ekta
L’Art est lui aussi résolument présent et offre son lot d’innovations et de nouveautés : du mobilier coloré et tout en courbures, l’utilisation importante de paillettes pour les vêtements et le maquillage, de nouveaux motifs et de nouvelles matières avec l’omniprésence du rond et l’imprimé fourrure, et bien d’autres encore…
L’Hôtel Ekta a lui aussi voulu s’inspirer de cette ambiance « seventies » chaleureuse et novatrice en y ajoutant modernité et élégance avec du noir, du blanc, une touche de jaune et des motifs géométriques tendances imprégnés de ces folles années !
De ce projet et cette volonté d’apporter confort et raffinement aux clients, est née la collaboration entre deux architectes spécialisés dans le secteur de l’hôtellerie : Jean-Philippe Nuel et Natasha Stojkovic. Ensemble, ils parviennent à rendre hommage à la capitale française grâce à une décoration vintage luxe-contemporain.
Jean-Philippe Nuel et Natasha Stojkovic, deux artistes, deux univers
Parfois, une passion, un métier se transmet de famille en famille. On prend rapidement le pli et on reprend la même activité que ses parents, ses grands-parents et plus encore. Pour Jean-Philippe Nuel, l’architecture est plus qu’une simple affaire de famille, c’est une véritable vocation qui ne le quitte plus depuis sa jeunesse. La suite paraît presque trop évidente : des études d’architecture à l’école des Beaux-Arts de Paris, des concours gagnés haut la main, et une suite de projets réussis principalement dans l’hôtellerie, en France et aux quatre coins du globe (Japon, Inde, Italie, Chine, Malte…). Pour concevoir ses projets, Jean-Philippe Nuel accorde une importance toute particulière aux détails : il reste à l’écoute de l’environnement où se trouve le projet et il vise à ne jamais détruire la mémoire et l’attachement portés autour du bâtiment. A la place, il améliore, ajoute sa touche personnelle à des projets proposant des décorations valorisant les matières, les contrastes et les couleurs. Chaque élément apporté prend son sens dans un cadre qui lui est dédié.
Contrairement à Jean-Philippe Nuel qui a évolué exclusivement dans une carrière d’architecte, Natasha Stojkovic emprunte plusieurs chemins avant de s’orienter résolument dans une carrière d’architecte d’intérieur et de décoration. C’est après avoir travaillé dans la restauration, la photographie et pour le groupe Lagrange que Natasha Stojkovic occupe le poste de directrice artistique dans l’agence NovaOm qu’elle fonde en 2010. C’est avec une approche sobre mais raffinée de la décoration que l’agence apporte ses services à des clients des secteurs de l’hôtellerie et de la restauration mais également pour des projets résidentiels et des particuliers. Avec un fort attrait pour la photographie et le souci du détail, Natasha Stojkovic tient compte de l’espace et des contraintes de chaque projet pour offrir de véritables compositions artistiques, adaptées aux besoins et au concept des commanditaires.